La préparation de notre aventure néozélandaise à Auckland

Publié par Koonshu, le 27 mai 2013 à 03:40

Déjà plus d’une semaine que nous sommes sur les terres néozélandaises. Le temps passe vite. Au moment où j’écris, nous sommes toujours à Auckland, toujours en train de préparer notre aventure à suivre en Nouvelle-Zélande. Pourtant, nous n’avons pas chômé durant cette semaine, pour imaginer les meilleures options possibles afin de vivre une belle aventure tout en restant dans un budget raisonnable de 30 euros par jour et par personne, maximum.

Explications.

Notre séjour à Auckland

Les aventuriers de La Piste Inconnue sont depuis le jeudi 16 mai 2013 à Auckland. Suite à plus d’une semaine passée à marcher un peu partout, le centre-ville n’a plus de secrets pour nous. Ces marches, toutes utiles, nous ont permis notamment de glaner une multitude d’informations pour préparer notre aventure, ainsi que de réaliser les achats nécessaires à notre futur périple.

Il ne s’est pas passé un seul jour, ou presque, sans que nous ne soyons partis en ville, dans le but d’avoir Internet dans la bibliothèque municipale de la ville dans un premier temps, puis pour manger le midi, et enfin passer du temps dans les magasins de sport spécialisés pour rechercher des informations sur les tentes ou d’autres produits utiles à une aventure de deux mois en plein air et en hiver dans ce pays.

Dans l’optique d’éviter de nous cantonner à la visite du centre-ville, nous avons également réalisé une longue marche, d’environ 32 kilomètres aller-retour, le jeudi 23 mai 2013. Elle se nomme en anglais « Coast to Coast », ce qui signifie « D’une côte à l’autre ». Cette belle marche, qui débute depuis le port de la ville, et qui nous a fait passer par les plus beaux endroits d’Auckland : le port, le centre-ville, le parc Auckland Domain, dans lequel se situe le musée du mémorial de guerre d’Auckland, le Mont Eden (un ancien dôme volcanique, le point naturel culminant d’Auckland) et le parc One Tree Hill. Elle se termine pour finir non loin de la côte opposée au port, à 16 kilomètres environ de son point de départ. Ce fut une belle randonnée, où la pluie faisait son apparition très régulièrement, sous forme d’averses. Nous sommes en Nouvelle-Zélande, donc il nous faut apprendre à composer avec.

La préparation de notre aventure néozélandaise à Auckland #1
La préparation de notre aventure néozélandaise à Auckland #2

Passer presque deux semaines à Auckland (12 jours pour le moment) fut une bonne idée, et pas de trop, pour bien préparer notre aventure sur les terres de la Nouvelle-Zélande. Chaque jour fut utile, ne serait-ce que pour réfléchir et envisager la meilleure option possible pour notre aventure ici.

Les différentes options envisagées pour notre aventure néozélandaise

Comme évoqué dans mon article précédent, sur notre arrivée à Auckland, nous avons envisagé plusieurs options pour voyager dans ce pays.

Première option : voyager en bus et dormir dans des auberges

La première option envisagée, mais rapidement abandonnée lorsque nous avons vu le coût de la vie en Nouvelle-Zélande, était de voyager comme nous l’avons fait la plupart du temps en Amérique du Sud : en se déplaçant en bus et en dormant dans des auberges.

Mais lorsque l’on voit qu’à Auckland, le prix d’une nuit en auberge est d’une vingtaine d’euros, sans petit-déjeuner et avec Internet limité et payant, il y a de quoi se poser des questions sur la viabilité économique de cette option.

Nous souhaitons encore voyager dans de nombreux pays après la Nouvelle-Zélande, dépenser tout notre budget voyage dans ce pays serait absurde. Cette option n’a donc pas fait long feu.

Deuxième option : louer ou acheter une voiture ou un van

Il s’agit d’une option choisie par de nombreux voyageurs venus se perdre ici. Elle a l’avantage de rendre le voyageur totalement libre de ses mouvements. Il peut en effet choisir simplement sa prochaine destination et s’y rendre par la route, sans se poser de questions.

Mais une nouvelle fois, la donnée économique rentre en jeu. Sans parler de l’achat ou de la location d’une voiture, le prix du carburant dans ce pays rend cette option vraiment très onéreuse.

Dernier point en sa défaveur : nous envisageons déjà l’achat d’une voiture en Australie, pour parcourir la côte est de ce pays. Nous ne nous voyons pas acheter et revendre deux voitures durant notre tour du monde, sachant qu’il faut du temps pour mener à bien chacune de ces transactions. Disons, au moins une semaine pour acheter une voiture, et deux semaines pour la revendre. Il s’agit donc d’une perte de temps que nous ne voulons pas subir en Nouvelle-Zélande.

Toutefois, pour ceux et celles qui souhaitent voyager dans ce pays et qui possèdent un budget confortable, cela reste une excellente option, surtout en basse saison. Nous avons en effet croisé durant notre aventure en Amérique du Sud de nombreux voyageurs qui avaient fait ce choix, et qui en étaient pleinement satisfaits.

Troisième option : faire du « tramping » et de l’autostop

En Nouvelle-Zélande, faire du « tramping », c’est parcourir le pays et notamment les chemins de randonnée avec une tente sur le dos.

C’est la dernière option que nous avons envisagée, car c’est bientôt l’hiver ici. C’est pourtant celle pour laquelle nous avons finalement opté après une longue période de réflexion. Dans ce pays tout comme en France, le bivouac et le camping sauvage sont tolérés, si nous restons respectueux de l’environnement (ne pas laisser de traces, ne pas faire de feux dans les réserves, emporter nos poubelles, etc.). Et, comme partout, il suffira de demander aux locaux pour espérer se voir accepter pour une nuit dans le coin d’un hangar ou d’une exploitation agricole. Nous avons une relative expérience de la vie et de la survie en extérieur, nous pourrons donc faire face à de nombreuses situations, même compliquées.

Faire de l’autostop nous semble envisageable également, du fait de la taille raisonnable du pays, mais aussi de la facilité que nous avons eu lors de notre première journée à Auckland pour avoir une course.

Mais ce qui nous a fait choisir cette option éprouvante, c’est que, passé les lourds investissements de départ, cette solution est très économique sur le long terme. Car une fois la tente et quelques éléments nécessaires à la vie en extérieur achetés, l’alimentation sera alors notre plus gros poste de dépense.

Ce qui rend cette option compliquée, c’est la météo. Nous comptions arriver en fin d’été à Auckland, nous évoluerons finalement en Nouvelle-Zélande à la fois en automne et aux portes de l’hiver. La température n’est donc pas très élevée, mais surtout, la pluie est très présente. Il ne se passe pas un jour sans qu’elle vienne nous dire bonjour. Difficile donc d’imaginer de voyager dans de telles conditions quand on sait que l’on restera dehors, tous les jours, pendant environ deux mois, à la merci de cette météo changeante et capricieuse. Cela nous inquiète réellement, nos corps et notre moral seront mis à très rude épreuve.

Nous comptons un peu sur notre chance pour avoir quelques jours de beau temps tout de même, et pour vivre une aventure hors du commun, en communion avec la nature, qui semble tout simplement sublime dans ce pays. Nous comptons également sur notre expérience pour nous adapter à toutes les situations que nous rencontrerons.

Choix de nos tentes

Choix extrêmement important, quand on sait que nous dormirons dans une tente tous les jours ou presque durant notre aventure néozélandaise, et probablement australienne également. Il faut que ces tentes soient suffisamment isolantes pour résister à la pluie quasi quotidienne en Nouvelle-Zélande, et résistantes pour tenir le choc durant au moins 4 mois d’utilisation. Ces tentes se doivent également d’être pratiques à monter, car si une tempête se rapproche, nous serons bien heureux d’avoir un toit sur notre tête en moins de 10 minutes. Dernier point important, elles devront être légères, car nous ne souhaitons pas voyager avec plus de 15 kilogrammes sur le dos quotidiennement.

Nous savions qu’une tente serait plus chère à l’achat en Nouvelle-Zélande qu’en France, par exemple. Mais nous ne nous attendions pas à une telle différence de prix : plus du double entre une même tente en France et en Nouvelle-Zélande. L’importation sur les îles néozélandaises en est la cause d’après les vendeurs. Il semble donc que les tentes aient le droit à une belle croisière de luxe pour arriver sur les îles, pour justifier un tel prix.

Nos premières visites dans des magasins spécialisés nous ont un peu refroidis sur notre idée de voyager avec deux tentes. Même les modèles basiques, prévus pour une utilisation de quelques jours par an et en été sont relativement chers. Pour notre utilisation, il fallait plutôt regarder dans le rayon des tentes haut de gamme, hors de prix, à environ 750 dollars néozélandais (environ 470 euros). Pour ma part, j’ai pris ces prix comme un coup de massue sur la tête, je ne pensais absolument pas devoir mettre une telle somme dans une tente.

Après une phase de réflexion et quelques simulations financières à froid, nous avons vite réalisé que cet investissement pouvait être amorti et rentabilisé avant même de quitter le territoire néozélandais, vu que nous ne paierions pas de lits en auberges lors de nos nuits sous les tentes. Très difficile, mais possible.

Notre premier choix se portait sur la très réputée tente deux places MSR Hubba Hubba, un modèle dont Audesou connaissait à la fois l’existence et la très bonne qualité, sans toutefois l’avoir lui-même testée. Elle répond à tous les besoins évoqués plus haut : elle est légère (environ deux kilogrammes), résistante, autoportante, spacieuse et facile à monter. Elle coûte en Nouvelle-Zélande 749 dollars néozélandais (environ 470 euros), sans son tapis de sol optionnel, qui coûte pour sa part 99 dollars néozélandais (environ 62 euros). Dur à avaler, lorsque l’on peut se la procurer en France à partir de 299 euros.

Après davantage de réflexion, notre choix s’est finalement déporté sur sa grande sœur, la MSR Hoop. La raison est simple : cette version conserve les qualités de sa petite sœur tout en assurant une meilleure isolation thermique, très utile ici. Petit point en sa défaveur par rapport à la MSR Hubba Hubba : elle pèse 400 grammes de plus, mais cela reste très raisonnable, environ 2,4 kilogrammes, tout compris.

De plus, alors que le prix de base de la MSR Hoop nue est de 849 dollars néozélandais (environ 530 euros) en Nouvelle-Zélande, nous avons pu nous en procurer deux neuves à 758 dollars néozélandais chacunes (environ 475 euros), tapis de sol compris, dans le magasin spécialisé Living Simply, que nous vous recommandons. En résumé, pour approximativement le même prix que celui que nous comptions investir dans deux MSR Hubba Hubba nues, nous avons deux tentes MSR Hoop qui nous permettront d’être encore mieux isolés de l’extérieur et donc d’avoir moins froid durant les nuits d’hiver.

Le choix s’est donc arrêté sur cette tente, la MSR Hoop. Nous espérons à présent qu’il sera le bon et que nos tentes résisteront durant toute notre aventure en Nouvelle-Zélande et Australie. Cela représente un gros investissement pour nous, il serait dommage de devoir repayer une tente de ce prix dans quelques semaines, si l’on s’aperçoit qu’elles ne font pas le poids face à la pluie néozélandaise.

Toutefois, cela devra nous servir de leçon. En France, de telles tentes ne nous auraient coûté que 369 euros, prix de départ, bien moins donc que les 475 euros déboursés ici après négociation. Nous avions un temps envisagé l’achat en France et l’envoi en Nouvelle-Zélande, mais nous avions abandonné l’idée à cause du surcoût représenté par l’envoi et la rigueur des normes sanitaires de Nouvelle-Zélande, qui rendent l’importation de produits destinés à une utilisation en extérieur, comme les tentes, très difficile. Si cela était à refaire, nous privilégierions finalement l’envoi depuis la France. Audesou a tout de même négocié le prix de nos tentes et de l’équipement d’appoint, ce qui nous a permis d’épargner quelques centaines d’euros par rapport à ce que nous aurions pu dépenser ici, mais cela reste malgré tout un mauvais choix financier.

Voici la liste du matériel que nous avons également acheté :

  • Un réchaud avec des recharges de gaz.
  • Deux cuillères, qui font office également de couteau et de fourchette.
  • Un couteau-suisse, seulement pour moi, pour remplacer celui que je me suis fait voler à Buenos Aires.
  • Deux ponchos.
  • Deux tapis de sol en mousse.

Enfin, pour éviter d’être chargés durant toute cette aventure, nous comptons envoyer nos petits sacs à dos par La Poste néozélandaise, à Christchurch, en utilisant le service de poste restante, car nous n’avons pas d’adresse dans cette ville. C’est un service qui semble fiable et peu onéreux, seulement 2,5 dollars (environ 1,6 euros) par semaine pour la garde d’un colis de plus de 10 kilogrammes, et la première semaine est même gratuite. Nous allons donc nous séparer de tout ce qui ne sera pas nécessaire à la randonnée, pour être les plus légers possible. L’ordinateur en fera partie, c’est pourquoi La Piste Inconnue risque de ne pas être actualisée durant nos deux mois d’aventure, si nous ne trouvons pas d’autres moyens d’écrire sur le blog avant notre arrivée à Christchurch.

Notre itinéraire

Le choix d’un itinéraire ne fut pas simple non plus à définir, tellement chaque région de la Nouvelle-Zélande semble magnifique. L’étude attentive de nombreuses documentations fournies gratuitement par les centres d’informations de Auckland (i-SITE) nous ont permis d’en apprendre beaucoup sur les activités à réaliser dans n’importe quelle partie de la Nouvelle-Zélande.

Notre idée de base était d’aller tout au nord de l’île du nord de la Nouvelle-Zélande, pour y voir la rencontre entre l’océan Pacifique et la mer de Tasmanie, puis de redescendre tranquillement vers le centre du pays pour y découvrir des villes comme Roturua, Taupo (située sur les rives du plus grand lac du pays, le lac Taupo) et enfin Wellington. Ensuite, nous souhaitions naviguer jusque dans l’île du sud, pour parcourir dans un premier temps la côte ouest, avec la découverte des sublimes fjords de Milford Sound, ou la ville de Wanaka par exemple. Et enfin, dans l’optique de prendre notre avion à Christchurch le 23 juillet 2013, nous comptions remonter par la côte est, en passant par Dunedin notamment. Il s’agissait donc déjà d’un bel itinéraire, où nous aurions découvert beaucoup de belles régions néozélandaises.

Mais après la découverte de ce que le Department Of Conservation (DOC) – qui est un organisme néozélandais chargé de conserver l’héritage naturel et historique du pays – appelle les Great Walks (« Belles Marches » en français), nous avions alors un tout autre plan pour notre aventure.

Il existe en tout neuf Great Walks en Nouvelle-Zélande, dont huit à faire à pied, et une en kayak. Vous le savez déjà, si vous suivez La Piste Inconnue, les belles randonnées ont toujours été une source de motivation et de bonheur pour nous. À la vue de ces belles randonnées – dont une considérée comme la plus belle marche du monde, rien que ça (la Milford Track, dans les fjords de Milford Sound) –, une idée folle émergea en nous : réaliser toutes ces Great Walks, sauf celle à faire en kayak.

L’itinéraire a donc changé d’une manière spectaculaire. Nous avons à présent huit objectifs, huit grandes et belles randonnées à réaliser en un peu moins de deux mois. Quand on sait que lorsque l’on cumule les nombres de jours prévus pour faire les randonnées, nous obtenons déjà 34 jours, il ne faudra pas trop trainer en chemin. Entre chacune de ces randonnées, notre mission sera simple, rejoindre la prochaine Great Walk en autostop.

Voici la liste de ces Great Walks, dans l’ordre dans laquelle nous souhaitons les faire :

  1. Lake Waikaremoana
    Comme son nom l’indique, il s’agit d’une marche sur les bords du lac Waikaremoana , située à l’est de l’île du nord.
  2. Tongariro Northern Circuit
    Randonnée à travers des volcans toujours actifs, située vers le centre de l’île du nord.
  3. Abel Tasman Coast Track
    Une marche à travers des forêts et des plages, sur la côte nord de l’île du sud.
  4. Heaphy Track
    La plus longue randonnée prévue (environ 80 kilomètres), sur la côte nord-ouest de l’île du sud.
  5. Routeburn Track
    Une marche entre montagnes, forêts et plages, située au sud-ouest de l’île du sud.
  6. Kepler Track
    Une randonnée située au sud-ouest de l’île du sud, dans la région des fjords.
  7. Milford Track
    Considérée comme la plus belle marche du monde, elle a pour localisation également la région des fjords au sud-ouest de l’île du sud.
  8. Rakiura Track
    Marche située sur une petite île, au sud de l’île du sud.

Vous avez donc à présent les grandes étapes de notre itinéraire envisagé en Nouvelle-Zélande. Évidemment, celui-ci changera en route, mais c’est un bon début, non ?

Il ne nous reste plus à présent qu’à affronter la pluie et le froid et vivre notre aventure néozélandaise à fond ! Plus simple à écrire qu’à faire.

Déjà 4 traces de pas sur ce bout de piste :

1. Chloé, le 27 mai 2013 à 13:10

Et bah ! Rien que de lire j’en ai mal aux pattes !
Je vous souhaite un bon voyage. Je pense que ce ne sera pas difficile avec tous les beaux paysages de ce pays. En espérant que la météo ne sera pas trop méchante avec vous ! ;)
Bisous à vous et à dans 2 mois, je vous suivrais d’Espagne :)

2. Fana, le 29 mai 2013 à 13:39

Pas cool, moi qui me faisais une joie de suivre régulièrement votre découverte de ce nouveau pays..... et là, tels des Hobbits (quoique, eux, ils n’avaient pas de tente ;-))) vous partez à l’aventure sans moyens de nous la faire partager...

Deux mois, cela va être long, mais c’est ainsi et nous essayerons de patienter...
Que faire d’autre d’ailleurs..

Allez voyagez bien et faites attention à vous..

3. Stefan Meyer, le 8 juin 2013 à 14:42

HEY les gars, j’ai enfin eu le temps de me replonger sur votre blog ! Incroyable, vous vous baladé maintenant en NZ ; Je vois que votre itinéraire est très réfléchit, incroyable, pour en venir à 2 points, Laissez les touristes bus de cotés, faite tous à pied, c’est assez facile, et de 2 : GUMTREE est votre solution, il faut juste dire ou vous allez et vous allez sans problème toujours trouver qqun pour vous amener un peu partout ;) ou acheter une voiture ^^

Sinon on se croise de justesse :( dommage , je vais quitter l australie d ici 15 jours pour l indonésie , j espère que tout vas bien pour vous

Au plaisir

stefan

4. Koonshu, le 21 juillet 2013 à 08:29

Après deux mois loin de l’ordinateur et d’Internet, à vadrouiller en Nouvelle-Zélande, nous voici revenus sur le blog : :-)

@Chloé : Au final, il a fait froid et plu régulièrement mais nous avons été très chanceux une nouvelle fois. La météo ne nous a jamais empêché de faire les marches que nous souhaitions réaliser, c’est le principal. Comme tu le dis, les paysages de la Nouvelle-Zélande sont vraiment magnifiques, un pays à visiter absolument pour les amoureux de la nature.

@Fana : Ta patience sera récompensée, tu pourras apprécier prochainement les meilleurs moments vécus lors de notre aventure dans ce pays. :-)

@Stefan Meyer : Merci pour les conseils. Confirmation, parcourir la Nouvelle-Zélande en stop est une excellente solution, même lorsque l’on trois.

Concernant Gumtree, nous l’utiliserons certainement en Australie, pour nous aider dans l’achat d’une voiture si nous choisissons cette option.

Dommage, nous aurions bien aimé te rencontrer. Peut-être pour une prochainement fois sur la route, en Asie. ^^

Vous aussi, laissez vos traces sur la piste...